Découvrez les moments forts de la vie étudiante lors de la 43e semaine de l’année 2023, où les initiatives audacieuses et les défis captivants ont été au cœur de l’action. Quittant la France pour l’Afrique, plongez dans une rétrospective des sujets brûlants qui ont animé le monde estudiantin.
Mots clés : Actualité, étudiante, revue de presse.
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Dans un premier temps, Sud Ouest nous fait part des difficultés rencontrées par trois étudiantes nouvellement arrivées à Bordeaux en France. Lynda et Nada, venues d’Algérie en septembre, ont été confrontées à des arnaques et des propositions indécentes lors de leur recherche de logement. Les prix exorbitants et le manque de disponibilité ont assombri leur expérience étudiante. En effet, le parc locatif étudiant à Bordeaux est largement insuffisant, avec seulement 10 500 logements pour 65 000 étudiants, ce qui crée une saturation sur le marché.
De l’autre côté, Mathys, un jeune bachelier de 18 ans, a également connu des difficultés pour trouver un logement abordable à Bordeaux. Malgré trois mois de recherche intense, il n’a pu trouver un logement qu’en septembre grâce à l’association l’ACLEF, qui facilite l’accès au logement pour les étudiants. Cette année, seuls 2 900 logements étaient disponibles pour les nouveaux arrivants, ce qui accentue la pression sur le marché immobilier de la ville.
L’Etudiant nous transporte ensuite dans le monde de l’alternance. Ce mode d’apprentissage, qui combine théorie en centre de formation et pratique en entreprise, offre de nombreuses possibilités de formations, du CAP au master. Cependant, il convient de souligner que l’alternance ne convient pas à tout le monde. Il nécessite une détermination et une motivation à mettre en pratique ses connaissances, ainsi que des qualités telles que la curiosité, l’ouverture d’esprit et l’adaptabilité.
Selon Sophie de Tarlé, Rédactrice en chef du Figaro Étudiant, il est crucial de susciter l’intérêt des jeunes pour les sciences afin d’assurer l’avenir de la France. Malgré la tradition d’excellence en France, les écoles d’ingénieurs peinent à recruter des étudiants. Il est donc urgent de promouvoir ces filières et de former les enseignants pour les rendre plus attractifs dès le plus jeune âge. Il est également important d’encourager les femmes à poursuivre des études scientifiques, car elles sont encore sous-représentées dans ce domaine. Sophie de Tarlé défend le modèle français des écoles d’ingénieurs accessibles après deux années de prépa, tout en appelant à rester vigilant face aux évolutions du secteur postbac.
Capital nous fait part d’une annonce inattendue qui a semé la consternation parmi les étudiants de la Maison de la Corée à Paris. En raison des Jeux olympiques, la direction du campus de la Cité universitaire a demandé aux étudiants de rendre les clés de leur studio au plus tard le 30 juin 2024. Cette décision a suscité des inquiétudes parmi les étudiants résidents, en particulier les étrangers qui se demandent où ils pourront trouver un logement pendant cette période chargée et comment cela pourrait affecter leurs études. Heureusement, le gouvernement français a annoncé que ces étudiants seront relogés et recevront une aide financière pour couvrir les frais de transport et de déménagement vers leur nouvelle résidence.
Une excellente nouvelle est annoncée par l’Université de Picardie : l’ouverture de la campagne 2024 du programme France Excellence Eiffel. Ce programme, lancé par le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères français, offre aux étudiants internationaux la possibilité de candidater pour des bourses d’études attractives au niveau master et doctorat. L’Université de Picardie Jules Verne participe à ce programme depuis 1999 et propose des bourses mensuelles généreuses ainsi que la prise en charge de prestations essentielles telles que le transport, l’assurance et la recherche de logement. Tout ce que vous avez à faire, c’est répondre aux critères de candidature. Les candidatures doivent être déposées avant le 11 décembre 2023 pour l’UPJV .
Les Echos nous transportent ensuite dans le domaine de la charité et de l’humanisme. En France, des écoles prestigieuses comme Sciences Po, Dauphine et les Ponts proposent des programmes pour aider les étudiants réfugiés à s’intégrer. Ces programmes offrent des cours de français, d’anglais, de sciences et d’informatique, ainsi qu’un accompagnement pour rédiger un CV ou une lettre de motivation. Sciences Po propose même un programme d’accès spécifique qui permet à des étudiants réfugiés d’intégrer directement la première année du cycle undergraduate. Ces initiatives visent à offrir des opportunités éducatives et professionnelles aux personnes ayant fui leur pays d’origine en raison de conflits ou de persécutions.
L’article de L’Express nous informe sur les difficultés financières rencontrées par de nombreux étudiants français. Selon une enquête réalisée par l’Observatoire de la vie étudiante, près d’un étudiant sur deux déclare avoir des problèmes financiers et 28% d’entre eux ont dû travailler pendant leurs études pour subvenir à leurs besoins. Les frais de scolarité élevés, le coût du logement, de la nourriture et des transports sont autant de facteurs qui contribuent à cette situation difficile. Certains étudiants sont contraints de renoncer à leurs études ou de s’endetter pour pouvoir continuer. Face à cette réalité, des mesures ont été prises pour améliorer l’accès aux bourses et aux aides financières, notamment avec la réforme des bourses sur critères sociaux et la mise en place du dispositif « 1 jeune, 1 solution » visant à favoriser l’emploi des jeunes.
Enfin, une excellente nouvelle pour tous les Africains ! Cio MAG nous annonce la venue de la plateforme Esseyi. La plateforme Esseyi a été créée pour résoudre les problèmes d’orientation des étudiants africains et rendre les établissements d’enseignement supérieur africains plus visibles. Elle offre une solution numérique innovante permettant aux étudiants de s’inscrire en ligne, de réserver leur place dans les établissements de leur choix en Afrique et de préparer leur voyage. La plateforme offre un accès privilégié à plus de 10 000 programmes de formation dans 2 000 établissements publics et privés en Afrique. L’objectif est de valoriser l’éducation africaine et de promouvoir le développement des communautés locales. La raison de cette plateforme est de mettre en valeur les établissements africains, car malgré une offre éducative de qualité en Afrique, de nombreux jeunes préfèrent étudier à l’étranger. Environ 4,8 % des étudiants subsahariens choisissent la mobilité internationale, avec la France, les États-Unis et l’Afrique du Sud comme principales destinations. Les établissements d’enseignement supérieur africains, au nombre de 40 000, sont souvent délaissés en raison de leur manque de visibilité par rapport aux formations internationales.
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Ewang Cynthia assistée par ChatGPT
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