L’histoire de Adjao-Wadad Tessilimi, un ancien étudiant de l’European school of business international affairs (ESBIA), est un véritable cauchemar. Inscrit dans ce qu’il pensait être une institution prestigieuse, il a rapidement découvert que l’école n’était pas reconnue et que ses diplômes n’avaient aucune valeur.
Une vraie angoisse
Adjao-Wadad raconte son expérience avec une grande détresse. Après avoir investi des milliers d’euros et des années de sa vie, il se retrouve sans diplôme valable et avec des dettes importantes. « C’est une vraie angoisse, » confie-t-il. « Je me sens trahi et perdu. » Aujourd’hui, il est sans titre de séjour et vit dans la crainte constante d’être arrêté.
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Les conséquences
Les conséquences de cette arnaque sont lourdes. Non seulement Adjao-Wadad doit faire face à des difficultés financières, mais il doit également reconstruire sa carrière à partir de zéro. Il a dû reprendre des études dans une autre institution, cette fois-ci reconnue, tout en travaillant pour subvenir à ses besoins.
Un phénomène répandu
Malheureusement, l’histoire de Adjao-Wadad n’est pas un cas isolé. Selon une enquête du Figaro Étudiant, de nombreuses écoles privées échappent à la surveillance du ministère de l’Enseignement supérieur et profitent de la naïveté des jeunes. Ces établissements, souvent hors Parcoursup, ne disposent pas toujours des accréditations nécessaires, ce qui peut mener à des situations similaires à celle de Adjao-Wadad.
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Un appel à la vigilance
Cette histoire met en lumière l’importance de vérifier la reconnaissance des établissements d’enseignement avant de s’y inscrire. Adjao-Wadad espère que son témoignage servira d’avertissement à d’autres étudiants. « Ne faites pas confiance aveuglément, » conseille-t-il. « Faites vos recherches et assurez-vous que l’école est accréditée. »
Conclusion
L’histoire de Adjao-Wadad est un rappel poignant des dangers des fausses écoles de commerce. Elle souligne la nécessité d’une vigilance accrue et d’une réglementation plus stricte pour protéger les étudiants des arnaques.
Pour en savoir plus, vous pouvez lire l’article complet sur Ouest-France et l’enquête du Figaro Étudiant.