« Le narrateur nous amène à comprendre que l’échec est la route qui mène au succès. »
Dans cet ouvrage « Souriant dans les épreuves : les leçons de notre premier échec », l’auteur EFUET AND. ATEM met en avant les difficultés auxquelles un entrepreneur peut faire face dans l’élaboration de son projet. Nous avons tous une idée en ce qui concerne l’entrepreneuriat mais est-ce suffisant afin de réussir dans cette voie parsemée d’embûches ?
Le narrateur nous amène à comprendre que l’échec est la route qui mène au succès. Il est à noter que plusieurs personnes abandonnent leur projet lorsqu’elles rencontrent un échec, pourtant c’est l’occasion d’apprendre de quelque chose qui n’a pas fonctionné, comme on le dit si bien « on apprend de ses erreurs ». EFFUET l’a si bien illustré en page 6 en ces mots : « apprendre de ses échecs vous permettra de ne plus reproduire certaines erreurs et surtout à savoir réagir devant l’échec et rebondir ».
Ce livre illustre parfaitement mon histoire car en 2016 je me suis lancé dans l’élevage de poulet de chaire et j’ai connu mon premier échec, c’était une catastrophe. Ma volonté et ma détermination à réussir dans ce domaine m’ont permis d’y croire et 3 ans après j’ai connu mon premier succès. Henri FORD est clair à ce sujet quand il dit : « échouer c’est avoir la possibilité de recommencer de manière plus intelligente ». Trois sources de motivation retiennent mon attention dans le parcours laborieux de l’autobiographe à savoir la famille, les amis en page 94 et 97 qui sont des véritables piliers dans les épreuves difficiles que nous traversons, quelque soit la difficulté nous devons rester soudés les uns aux autres et le sport qui est un moyen efficace pour évacuer le stress en page 117.
L’histoire de AND. est très émouvante. Il s’agit d’une parfaite illustration pour quelqu’un qui souhaite se lancer dans l’entrepreneuriat. Entre joie, tristesse, persécution, pardon, humour, échec, il reste focalisé sur ses objectifs. Les épreuves difficiles qu’il traverse permettent de ressortir le côté obscur de l’entrepreneuriat. En somme il faudrait avoir de la volonté et aimer ce que tu fais pour prétendre au « bonheur ».
Cedric Sigmou