Parcoursup nous rappelle que la période de candidature pour l’année universitaire 2024-2025 se termine le 15 décembre et les différentes procédures sont requises pour les demandes d’admission des étudiants étrangers, des pays de l’Union européenne ainsi que de la Suisse. À compter du 1er janvier 2025, une réforme législative prévoit que l’accès à la profession d’avocat exigera désormais l’obtention d’un Master 2 en remplacement du Master 1. Retrouvez toutes ces informations dans notre revue hebdomadaire sur l’actualité étudiante de la semaine 49.
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Selon Planete Grande École, les étudiants étrangers souhaitant s’inscrire en première année de licence dans une université française doivent obligatoirement effectuer une demende d’admission préalable (DAP). La période de candidature pour l’année universitaire 2024-2025 se termine le 15 décembre. La DAP concerne les étudiants étrangers non ressortissants de l’Union européenne, de l’Espace économique européen ou de la Suisse, titulaires d’un diplôme étranger de fin d’études secondaires. Il est important de noter que les candidats suisses ou européens doivent se tourner vers la plateforme Parcoursup. Pour les étudiants résidant à l’étranger, ils doivent remplir le formulaire appelé « dossier blanc » et le soumettre au service de cooperation et daction culturelle de l ambassade de France (SCAC) du pays de résidence. Quant aux étudiants résidant en France, ils doivent remplir le formulaire « dossier vert » et le remettre directement aux trois universités de leur choix. Il est crucial de respecter la date limite de dépôt de la DAP, fixée au 15 décembre 2023. Il convient également de noter que 69 pays exigent une procédure spécifique, nécessitant une demande simultanée d’admission préalable et de visa de long séjour via le site Campus France. Les universités ont jusqu’au 30 avril 2024 pour transmettre leur proposition d’acceptation aux candidats. Ces derniers disposent ensuite jusqu’au 31 mai 2024 pour répondre à l’université qui leur a fait une proposition d’inscription. Il est important de souligner que l’absence de réponse après cette date sera considérée comme un refus de leur part.
Pour les étudiants en BUT qui souhaitent accéder à une école d’ingénieurs, L’Étudiant rapporte que le concours Bachelor Universitaire de Technologie 2024 est la solution. Il est organisé par l’ENSEA et comprend actuellement 8 écoles d’ingénieurs participantes. Les écoles membres du concours incluent l’ENSEA, l’ENS, l’ECAM-EPMI, l’ECAM, l’ESEO, l’ESIEA et l’ICAM. Les candidats doivent choisir entre trois options : génie électrique, génie mécanique et génie civil. Les épreuves orales spécifiques et les places offertes varient selon les écoles et les options choisies. Le concours est ouvert aux étudiants inscrits en deuxième ou troisième année de BUT dans les domaines du génie civil, du génie électrique ou du génie mécanique. Les candidats doivent s’inscrire en ligne sur le site du concours ENSEA entre le 7 février et le 6 mars 2024. Les étapes clés du concours comprennent également la complétion des fiches d’appréciation et les épreuves orales qui se déroulent du 8 au 25 avril 2024. Les résultats d’admission sont annoncés le 30 avril 2024.
Le concours de BUT est ouvert aux étudiants inscrits en deuxième ou troisième année de BUT. Cependant, pour accéder au concours d’avocat, il est désormais requis d’être titulaire d’un Master 2. Selon une nouvelle disposition de la loi rapportée par l’Étudiant, à partir du 1er janvier 2025, les futurs avocats devront avoir obtenu un Master 2 au lieu d’un Master 1 pour exercer la profession. Auparavant, l’exercice de la profession d’avocat était possible dès l’obtention d’un Master 1 en droit. Cette évolution réglementaire implique donc un niveau d’études supérieur, avec l’obligation d’avoir au moins un Master en droit ou des titres équivalents. Cette modification prendra effet à partir du 1er janvier 2025. Il est important de noter que l’accès à l’école d’avocats (CRFPA) restera ouvert aux étudiants titulaires d’un Master 1, et la formation se conclura par l’examen du Certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA). Les critères relatifs à la nationalité, au casier judiciaire et aux sanctions disciplinaires demeurent inchangés. Mais la question de comment bien réussir son intégration dans ce métier de prestige demeure sans réponse.
Alors quand on est étudiant etranger, l’intégration peut être un obstacle impossible à franchir. Mais selon Heyme, pour réussir son intégration en tant qu’étudiant étranger en France, il est recommandé de gérer les premiers jours avec calme et sérénité, en prenant le temps de s’acclimater à l’environnement français et en participant activement à la vie étudiante. S’impliquer dans des associations et des clube étudiants permet de rencontrer des personnes partageant la même situation et de s’intégrer plus facilement. Ensuite, il est conseillé de créer un chez-soi qui reflète son identité en personnalisant son logement avec des souvenirs et des objets qui lui sont chers, favorisant ainsi un sentiment d’appartenance et de confort. Sur le plan financier, il est crucial d’établir un budget réaliste en prenant en compte les dépenses mensuelles telles que le logement, les transports, la nourriture et les loisirs. Il est également recommandé de rechercher des réductions et des opportunités de jobs étudiants pour augmenter ses revenus. Enfin, l’utilisation de l’application Spiky Community, une application gratuite et multilingue, est recommandée pour faciliter l’installation et l’intégration des étudiants étrangers en France en fournissant des informations sur les services essentiels tels que les médecins, les banques, le logement, les emplois et les événements interculturels.
Pour les étudiants qui souhaitent poursuivre leurs études en dehors de la France, une opportunité se présente en Corée du Sud. l’Etudiant présente les différentes bourses et aides financières disponibles pour les étudiants qui souhaitent étudier dans ce pays. Parmi celles-ci, le Programme de Bourses du Gouvernement Coréen (KGSP), également connu sous le nom de Bourse Globale Coréenne (bourse GKS), offre aux étudiants étrangers la possibilité de poursuivre des études de licence, de master ou de doctorat en Corée du Sud. Ce programme couvre non seulement les frais de scolarité, mais aussi les frais de voyage, d’installation, les allocations mensuelles, l’assurance médicale, les cours de langue, et bien plus encore. Les critères d’éligibilité comprennent des éléments tels que l’âge, le niveau d’études, la santé physique et mentale, ainsi qu’une moyenne pondérée élevée. Le processus de candidature implique la préparation d’un dossier complet, comprenant des tests de langue et une lettre de motivation. En plus du KGSP, d’autres bourses sont également mentionnées, telles que les bourses offertes par les universités coréennes, les bourses privées et internationales, ainsi que les bourses destinées aux chercheurs internationaux.
Il ne s’agit plus d’étudier en France ou en Corée, mais plutôt d’obtenir une admission dans une école en Algérie. Dans un récit de, Agence Ecofin, il est mentionné que $ l’Algérie a attribué le label « Study in Algeria » à 15 établissements d’enseignement supérieur et résidences universitaires afin d’encadrer les étudiants internationaux. Parmi ces institutions figurent l’Université Echahid Hamma Lakhdar d’El Oued, l’Université de Boumerdes Mohamed Bougherra et l’Université de Mostaganem Abdelhamid Ben Badis. La sélection de ces établissements s’est basée sur plusieurs critères et ils ont reçu une étoile symbolique valable pendant un an. L’Algérie aspire à devenir une destination d’études privilégiée en Afrique et a également établi des partenariats.
En France, en Italie ou en Algérie, après avoir soumis les demandes d’admission et avoir été acceptés dans une école, l’étape suivante consiste à obtenir un visa. Cependant, il semblerait que les étudiants tunisiens ne rencontrent pas les mêmes facilités dans ce processus. Selon Direct Info, des étudiants tunisiens ont organisé une manifestation devant l’ambassade d’Italie pour protester contre le refus d’octroi de visa afin de rejoindre des universités italiennes. Les étudiants affirment que malgré la complétion de leurs dossiers et l’obtention des approbations des facultés italiennes, de nombreuses demandes de visa ont été rejetées. Certains d’entre eux avaient même prévu de poursuivre leur doctorat en Italie. Les motifs du refus des visas sont jugés flous et injustifiés par les étudiants, qui dénoncent une ingérence dans leurs domaines d’étude et une menace pour leur avenir académique et professionnel.
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